A Master of Portraiture and Genre Painting
Konstantin Makovsky’s Artistic Legacy
Konstantin Egorovich Makovsky (1839-1915) left a remarkable and extraordinary significant artistic legacy. He was a versatile artist, known for his expertise in genre painting, history painting, and landscape art. However, it was his portraiture that truly defined his oeuvre. His son, the renowned Silver Age art critic Sergei Makovsky, once remarked that his father’s collection of portraits exceeded the combined works of Kramskoi, Repin, and Serov.
The Allure of Makovsky’s Female Portraits
Makovsky’s oeuvre is adorned with captivating portraits of women, particularly those from high society. These gala portraits not only showcased the graceful appearance of the sitters but also the opulence of their surroundings. At Makovsky’s solo exhibition in St. Petersburg in 1897, the female portraits and heads stole the spotlight, as critics marveled at their “eternally female” essence.
Painting Loved Ones
Makovsky had a special affinity for painting the women he held dear. His first wife, Elena Timofeevna, shared a brief seven-year marriage with the artist before her untimely death from consumption in 1873. In 1875, Makovsky married Iulia Pavlovna Letkova, celebrated as the most beautiful woman in St. Petersburg at the time. He created several portraits of Iulia Pavlovna, two of which are now housed in the State Russian Museum in St. Petersburg.
The Influence of Loved Ones on Makovsky’s Art
Iulia Pavlovna’s distinct “facial type” also found its way into Makovsky’s historical paintings of the 1880s, as well as his depictions of mythological and allegorical figures. In 1889, Makovsky met Maria Alekseevna Matavtina in Paris and once again fell in love. This led to his divorce from Iulia Pavlovna in 1892 and his remarriage in 1898. He lived with Maria Alekseevna. She was his junior and was younger to him by thirty years, until his death in 1915.
A New Family and Continued Inspiration
Makovsky and Maria Alekseevna’s love resulted in three children born prior to their marriage (Konstantin, Olga, and Marina), who were subsequently legitimized. Their youngest, Nicholas, was born in 1900. Notably, there was a striking physical resemblance between Makovsky’s second and third wives, Iulia Pavlovna and Maria Alekseevna. Both were exceptional beauties with perfectly proportioned features.
Muse and Model: Maria Alekseevna
From the 1890s onwards, Maria Alekseevna became the artist’s constant muse. Her likeness graced numerous portraits exhibited by the St. Petersburg Society of Artists. She took on the role of Juliet in Makovsky’s painting “Romeo and Juliet” (1895, Odessa Art Museum), and her features were unmistakably present in his later rendition of “Ophelia.”
Konstantin Makovsky’s artistic journey was not just a visual exploration but also a testament to the profound impact that the women in his life had on his work, leaving a lasting mark on the world of art.
French:
L’Héritage Artistique de Konstantin Makovsky
Konstantin Egorovich Makovsky (1839-1915) a laissé un héritage artistique considérable. C’était un artiste polyvalent, reconnu pour son expertise en peinture de genre, en peinture historique et en art du paysage. Cependant, c’est dans le portrait qu’il a vraiment excellé. Son fils, le célèbre critique d’art de l’Âge d’argent, Sergei Makovsky, a un jour fait remarquer que la collection de portraits de son père dépassait les œuvres combinées de Kramskoi, Repin et Serov.
L’Attrait des Portraits Féminins de Makovsky
L’œuvre de Makovsky est ornée de portraits captivants de femmes, en particulier celles de la haute société. Ces portraits de gala non seulement mettaient en valeur l’apparence gracieuse des modèles, mais aussi l’opulence de leur environnement. Lors de l’exposition personnelle de Makovsky à Saint-Pétersbourg en 1897, les portraits féminins et les têtes ont volé la vedette, les critiques s’extasiant sur leur essence “éternellement féminine”.
Peindre les Êtres Chers
Makovsky avait un attachement spécial pour la peinture des femmes qui lui étaient chères. Sa première femme, Elena Timofeevna, a partagé un bref mariage de sept ans avec l’artiste avant son décès prématuré dû à la tuberculose en 1873. En 1875, Makovsky a épousé Iulia Pavlovna Letkova, célébrée comme la femme la plus belle de Saint-Pétersbourg à l’époque. Il a créé plusieurs portraits d’Iulia Pavlovna, dont deux sont maintenant exposés au Musée russe de Saint-Pétersbourg.
L’Influence des Êtres Chers sur l’Art de Makovsky
Le “type facial” distinct d’Iulia Pavlovna s’est également retrouvé dans les peintures historiques de Makovsky des années 1880, ainsi que dans ses représentations de figures mythologiques et allégoriques. En 1889, Makovsky a rencontré Maria Alekseevna Matavtina à Paris et est tombé à nouveau amoureux. Cela a conduit à son divorce avec Iulia Pavlovna en 1892 et à son remariage en 1898. Il a vécu avec Maria Alekseevna, qui était sa cadette de trente ans, jusqu’à sa mort en 1915.
Une Nouvelle Famille et une Inspiration Continue
L’amour de Makovsky et de Maria Alekseevna a abouti à la naissance de trois enfants avant leur mariage (Konstantin, Olga et Marina), qui ont été légitimés par la suite. Leur benjamin, Nicholas, est né en 1900. Il convient de noter qu’il y avait une frappante ressemblance physique entre la deuxième et la troisième épouse de Makovsky, Iulia Pavlovna et Maria Alekseevna. Toutes deux étaient des beautés exceptionnelles aux traits parfaitement proportionnés.
Muse et Modèle : Maria Alekseevna
À partir des années 1890, Maria Alekseevna est devenue la muse constante de l’artiste. Son image a orné de nombreux portraits exposés par la Société des artistes de Saint-Pétersbourg. Elle a incarné le rôle de Juliette dans le tableau de Makovsky “Roméo et Juliette” (1895, Musée d’Odessa), et ses traits étaient incontestablement présents dans sa version ultérieure d'”Ophélie”.
Le voyage artistique de Konstantin Makovsky n’était pas seulement une exploration visuelle, mais aussi un témoignage de l’impact profond que les femmes de sa vie ont eu sur son travail, laissant une empreinte indélébile dans le monde de l’art.